Involution des Pratiques Sexuelles + Cas des néo-zélandaises

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Involution des Pratiques Sexuelles + Cas des néo-zélandaises

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en date du samedi 27 octobre 2007

Evolution des pratiques sexuelles en France


La très sérieuse enquête "Contexte de la sexualité en france", rendue publique au cours de cette année, fournit un panorama complet sur la sexualité des Français au 21ème siècle, et également sur l'évolution des moeurs, puisque des enquêtes similaires avaient été réalisées en 1970 et 1992.

D'un point de vue général, les résultats sont prévisibles, et conformes aux effets de la libération sexuelle:

Baisse de l'âge du premier rapport sexuel: En un demi siècle, l'âge moyen du premier rapport chez l'homme est passé de 18,8 ans à 17,2 ans et de 20,6 ans à 17,6 ans chez les femmes

L'augmentation du nombre de partenaires sexuels déclarés est en hausse chez la femme: 4,4 en moyenne, contre 1,8 en 1970 et 3,3 en 1992. de son côté, l'homme mentionne en moyenne un chiffre de 11,6. Cette importante différence s'explique par le fait que les femmes ne mentionnent pas l'ensemble de leurs partenaires, mais se limitent à ceux "qui ont compté dans leur vie"

La fréquence des rapports sexuels varie peu, sauf pour les femmes de plus de 50 ans: les femmes en couple de plus de 50 ans n’étaient que 53% à déclarer une activité sexuelle dans les 12 derniers mois dans l’enquête de 1970,elles étaient 77% dans l’enquête de 1992 et sont près de 90% aujourd’hui.

L'inactivité sexuelle frappe une partie des couples: 16% des femmes et 15% des hommes en couple depuis plus d’un an rapportent n’avoir eu aucun rapport sexuel pendant au moins trois mois consécutifs lors de l’année qui vient de s’écouler. Quand la relation dure depuis 2-3 ans, 13% des femmes et 10% des hommes déclarent ne pas avoir eu de rapports sexuels pendant au moins 3 mois, et 17% des femmes et 16% des hommes lorsqu’elle dure depuis plus de 6 ans

Rapports homosexuels: 4,0 % des femmes et 4,1% des hommes de 18 à 69 ans déclarent avoir déjà eu des pratiques sexuelles avec un partenaire du même sexe, ce qui représentent une augmentation notable chez les femmes (2,6% en 1992)

Plus de 90% des hommes disent avoir déjà pratiqué la masturbation, contre seulement 60% des femmes. En 1992, 42% d'entre elles seulement disaient s'être masturbées

Explosion des pratiques orales: Aujourd'hui, plus de 80% des femmes on déjà pratiqué la fellation. Dès l'âge de 25 ans, deux tiers d'entre elles déclarent la pratiquer régulièrement. 85% des hommes et femmes ont expérimenté le cunnilingus, et 70% le pratiquent souvent ou parfois

La sodomie progresse: En 1992, seulement 24% des femmes et 30% des hommes déclaraient en avoir fait l’expérience, alors qu’en 2006, ils sont respectivement 37% et 45%. Cependant, cette pratique semble occasionnelle: entre 25 et 49 ans, les femmes sont seulement 12% à dire qu’elles la pratiquent souvent ou parfois (15 à 18% pour les hommes de 20 à 49 ans)

L'enquête met en évidence une continuité des divergences dans la représentation de la sexualité entre hommes et femmes. Si les femmes ont désormais une vie sexuelle plus diversifiée, comme le montrent les chiffres, elles restent toutefois peu nombreuses à envisager la sexualité en dehors du cadre d’une relation amoureuse. Ainsi, les hommes de 18 à 24 ans sont deux fois plus nombreux que les femmes à considérer que l’on peut avoir des rapports sexuels avec quelqu’un sans l’aimer (57% contre 28%).

L'enquête conclut que "ces divergences s’inscrivent dans une vision du monde qui voit dans la les différences biologiques la cause essentielle des différences hommes/femmes en matière de sexualité", avec à l'appui, la statistique suivante: Les femmes et, dans une moindre mesure, les hommes adhèrent majoritairement à l’idée selon laquelle les hommes auraient "par nature plus de besoins sexuels que les femmes" (75% des femmes et 62% des hommes).

Notons le caractère sexiste de l'étude, qui considère le recours à la prostitution comme une activité exclusivement masculine. Un récent article publié sur ce blog prouve pourtant le contraire...

extrait de http://beteshumaines.blogspot.com/2007/ ... it-en.html


dimanche 19 avril 2009

Les Néo Zélandaises sont les plus dévergondées


Biologiquement, l'homme est fait pour être plus actif sexuellement que la femme. C'est une histoire d'instinct de reproduction. Il doit répendre sa sémence pour assurer sa descendance. La femme est censée être bien plus timorée. En théorie, elle choisit le partenaire qui lui garantira protection et sécurité. Les femmes produisent environ 400 ovules dans leur vie, ce qui explique qu'elles appliquent une sélection stricte de leurs partenaires, alors que ces derniers produisent assez de sperme pour repeupler la planète à chaque éjaculation.

Les temps changent. Boom du marché des sex toys, dysfonctionnements érectiles, désintérêt pour le sexe, virtualisation des relations humaines, les études mettant en évidence la dévirilisation de l'homme se multiplient à un rythme inquiétant.
Le fameux sondage Durex sur le bien être sexuel a révélé en 2008 un fait passé pratiquement inaperçu et pourtant exceptionnel: En Nouvelle Zélande, les femmes ont statistiquement plus de partenaires sexuels que leurs homologues masculins.

Les Néo Zélandaises sont les plus dévergondés au monde. Elles avouent avoir en moyenne plus de 20 partenaires, ce qui représentent presque le triple de la moyenne établie sur 26 pays (7.3) et le double des Britanniques ou des Australiennes.

Des études complémentaires sur les moeurs des jeunes filles kiwis ont confirmé, sur le terrain, ces chiffres théoriques. Le traditionnel rendez-vous galant est mis au rebut au profit de beuveries entre bandes de filles à la recherche d'hommes dans l'unique but d'avoir des rapports sexuels. Les aventures d'un soir constituent la règle de base et ne donnent lieu à aucune suite si l'expérience n'est pas satisfaisante.

Un sondage réalisé en 2007 auprès de 5000 hommes a même révélé que 29% d'entre eux ont déjà été victimes de pressions à caractère sexuel de la part de femmes ou de relations non consenties. L'étude ne précise pas s'ils s'en plaignent...

extrait de http://beteshumaines.blogspot.com/2009/ ... -plus.html
Fondateur du forum, j'ai cru être gnostique dans le passé, mais je n'était qu'un imitatus. J'ai peut-être compris la gnose de travers, je n'ai pas su méditer et je n'ai pas su étudier mes ego comme il fallait et j'ai commis d'autres erreurs dont je ne suis pas conscient. Il m'avait été même donné une épouse-prêtresse mais j'ai échoué sur le chemin sur le premier et le second facteur. Aujourd'hui, je suis un infra-sexuel mais malheureusement, je ne me repens pas !

Je ne suis plus digne de côtoyer les gnostiques bien ancrés sur leurs deux jambes, qui suivent les justes préceptes et se tiennent droit sur le chemin. Certains ont ont su comprendre l'enseignement et ont remarquablement progressé sur le chemin, disent marcher dans les pas de leur Intime. Et bien qu'ils soient venus à la gnose après moi, ils ont voulu me proposer leur aide pour me relever mais je l'ai refusée. Je constate mon échec et j'attends la mort avec impatience en m'isolant, espérant pouvoir revenir dans une vie prochaine avec de meilleurs atouts si cela m'est permis. Mais que cela ne vous empêche pas de venir vous frotter à eux. Je ne suis plus présent sur le forum pour échanger. Je n'alimente que les sujets qui m'intéressent et ne souhaite pas débattre avec vous.
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