Les cycles de l’humanité et les catastrophes naturelles.

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Les cycles de l’humanité et les catastrophes naturelles.

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Excellent article, du site Zone-7.net: http://zone-7.net/v3/articles/les-cycle ... naturelles

LES CYCLES DE L’HUMANITÉ SONT LES MIROIRS DES CYCLES DE CATASTROPHES NATURELLES


À l’heure actuelle, été 2011, les signes abondent et il serait difficile de ne pas les voir. L’augmentation rapide du nombre et de la magnitude des tremblements de terre, le décuplement des épisodes de sécheresse causant pertes de récoltes et famines et, à l’inverse, de pluies torrentielles causant inondations et glissements de terrain… Le terme « tsunami » s’est désormais bien ancré dans notre vocabulaire et les températures ne cessent de battre des records tant à la hausse qu’à la baisse, et ce, aux quatre coins du globe… L’accroissement du nombre de tornades à travers le monde, les chutes de neige dans certains pays tropicaux… Bref, l’intensification des bouleversements climatiques en tout genre est au menu et tout indique qu’elle y est pour rester. Ajoutons à la liste le nombre incroyable d’hécatombes animales jonchant la planète dont la cadence ne fait que s’accélérer et nous nous retrouvons face à un phénomène dont l’ampleur et les conséquences donnent froid dans le dos.

Les cycles de l’humanité sont les miroirs des cycles de catastrophes naturelles…

Peut-être avons-nous aussi remarqué, en parallèle, la course effrénée et inarrêtable à la globalisation qui, sous une fausse trame de fond humanitaire, pille sans vergogne tout territoire possédant des ressources naturelles, exploite les humains de tout pays confondus et écarte avec violence et sans remords quiconque s’oppose à son expansion.
Peut-être aussi avons-nous conscience de la marche totalitaire des corps policiers et militaires qui foulent la planète entière de leurs bottes ensanglantées. La liste des pays en guerre s’allonge tous les mois et on ne se gêne plus pour nous informer à l’avance du pays qui sera la cible de la prochaine intervention armée. Au nom de la paix, bien entendu. Et comme la paix demande la sécurité – dans une optique orwélienne du moins –, peut-être aussi nous sommes-nous rendu compte de l’augmentation rapide des corps policiers ainsi que du nombre impressionnant de « gardes de sécurité » systématiquement mis en place dans tous les commerces et événements publics. Peut-être avons-nous remarqué aussi avec quelle brutalité et manque d’humanité ils agissent, comme si le peuple était désormais l’ennemi.
Ou encore, peut-être sommes-nous atteints, comme un nombre sans cesse croissant d’individus, de troubles anxieux, de dépression ou de troubles sévères de l’humeur. À moins que ce ne soit d’une maladie chronique quelconque de laquelle de plus en plus de gens de notre entourage souffrent. Peut-être le voyons-nous clairement : la grande majorité de la population (tout âge, toute race et tout sexe confondus) est en piètre état de santé : les cancers, les troubles neurologiques et les intolérances alimentaires se répandent à toute vitesse. Le cartel pharmaceutique de pair avec les instances gouvernementales (main dans la main avec les Monsanto de ce monde), qui décident ce qui est bénéfique ou non pour notre bien-être, semblent avoir gagné beaucoup de terrain en peu de temps et l’état de santé général de l’humanité place celle-ci dans une situation très précaire.
Peut-être aussi voyons-nous à quel point les dépravations en tout genre, l’intolérance, l’individualisme, la débauche, l’avarice et l’égocentrisme trouvent un terreau fertile dans le matérialisme consumériste de nos sociétés dites civilisées. Le sexisme est partout, les guerres de religion fleurissent comme sur un tas de fumier et nous ne savons plus quoi inventer comme perversions sexuelles.
Mais, surtout, peut-être ne somme-nous pas assez à avoir conscience de tout cela.

Les cycles de l’humanité sont les miroirs des cycles de catastrophes naturelles… et la Terre en bénéficie sous forme de nettoyage périodique.

Bien que la majeure partie des bouleversements climatiques actuels ne soient pas le fruit de l’activité humaine, la pollution systématique de toutes les couches de la biosphère, elle, l’est. De la pollution de notre air, nos eaux et nos sols par tous les rejets industriels, les sites d’enfouissement des ordures et des déchets radioactifs en passant par les centaines de bombes nucléaires que nous avons fait exploser à titre de tests (ou afin de modifier la ceinture Van Allen pour une meilleure communication militaire outre-mer, pourquoi pas?) jusqu’à l’épandage de produits chimiques tel que l’Agent Orange dans nombre de pays, notre planète est devenue, disons-le sans détour, une poubelle radioactive. Nos champs agricoles, tout comme notre cour arrière, sont remplis de pesticides, d’herbicides, d’insecticides et d’engrais chimiques. Nous répandons des organismes génétiquement modifiés à tout vent et nous testons des technologies de contrôle climatique sur des pays « ennemis » afin de pouvoir leur venir en aide par la suite. Nous utilisons des technologies de contrôle mental à la HAARP, implantons des réseaux WiFi et des ondes cellulaires (clairement dommageables pour toutes cellules vivantes) à la grandeur du globe. Uranium appauvri et phosphore jonchent les terrains de jeux du complexe militaro-industriel mondial et le nombre de produits hautement toxiques utilisés dans tous les appareils technologiques (ordinateurs, GPS, téléphones cellulaires, etc.) est impressionnant : même les ampoules à basse consommation sont désormais remplies de mercure.

…et la Terre en bénéficie sous forme de nettoyage périodique.


À l’heure actuelle, été 2011, les signes abondent et il serait difficile de ne pas les voir. Depuis plusieurs années, ils sont nombreux à tirer la sonnette d’alarme : le nombre de météores passant près de la Terre est en rapide augmentation tout comme le nombre de météorites, c’est-à-dire ceux qui touchent notre sol. Ils sont aussi nombreux à pointer du doigt les dérèglements et les sautes d’humeur de notre soleil qui causent des perturbations climatiques terrestres importantes. Les pôles magnétiques sont en route pour une inversion cyclique, les supervolcans montrent des signes de reprise d’activité et… la Terre en bénéficiera sous forme de nettoyage périodique.
Je ne suis pourtant pas du type alarmiste, ni du type sensationnaliste et je n’écris pas ces lignes afin d’apeurer qui que ce soit. Je tente simplement de voir ce qui est plutôt que ce que je voudrais voir ou encore que ce qu’on me dit de voir. Et bien que je n’apprécie pas plus que n’importe qui ce que constitue la réalité par-delà l’illusion de l’affairement quotidien, je dois me rendre à l’évidence. Et au nom de tous ceux qui désirent la vérité avant tout, je me sens le devoir de communiquer ce qui me semble juste, réel et objectif.
L’image n’est pas des plus jolies, j’en conviens, car une des conclusions claires qui s’en dégagent est que rien ne pourra arrêter ce train et que ce train fonce tout droit vers le cataclysme à grande échelle. Et quoi que nous tentions, nous n’en altérerons pas la course.
Alors, qu’en fait-on?
À quoi bon dénoncer la psychopathie et ses incidences sur notre monde et notre psyché, chercher la vérité en tout sens et tenter de s’éveiller et d’éveiller notre voisin et nos proches si de toute façon nous finirons comme le prévoient les enseignements traditionnels, c’est-à-dire dans un « déluge de feu »?
À quoi bon redécorer la chambre, repeindre la maison et réparer le balcon puisque tout ceci disparaîtra lors d’un cataclysme régional ou global?
On dit que la vie n’est que leçons et dans ce cas l’état actuel du monde est toute une école! Mais la question demeure : qu’en fait-on?
À quoi bon tout ce que nous entreprenons si le tout part en fumée à la première météorite venue? Tout ce que nous bâtissons n’est-il pas que châteaux de cartes en comparaison à la puissance de la nature? Et surtout une nature d’ordre astronomique. Même tout notre savoir, en tant que société, est désormais consigné sur des supports magnétiques d’une surprenante fragilité. Qu’en restera-t-il? Est-il censé en rester quelque chose ou est-ce que la race humaine aussi en « bénéficiera sous forme de nettoyage périodique »?
Spéculations mises de côté, je crois que tout ceci nous offre, en réalité, une grande opportunité : celle de faire la différence entre le futile et l’important. À mon humble avis, c’est un gigantesque appel à l’essentiel car c’est uniquement lorsque nous prenons conscience que notre existence, telle que nous la connaissons, a une fin, que nous cherchons réellement à en faire quelque chose qui vaille, quelque chose de réel, de tangible. Au même titre que nous replaçons rapidement les priorités dans notre vie à l’annonce d’un cancer, voyons-nous alors plus clairement la futilité de nos occupations quotidiennes et de nos vaines identifications à l’ego à la lumière d’une « fin imminente ».
Il est de mon avis que les « choses » du Grand Tout doivent appartenir à un continuum de nécessité. Et par nécessité j’entends que le fait d’exister, d’être et de vivre s’inscrit dans un continuum et que par nature il n’est pas vain. Nul besoin ici de croire à la réincarnation ou au karma pour en saisir le concept et la portée. Dit simplement : chaque chose existe pour une raison. Mais cette raison, que nous cherchons habituellement à appréhender de façon anthropomorphique, est en réalité basée sur unenécessité existentielle. La Création, au sens le plus absolu, ne crée pas par « plaisir » ou par « expérimentation », mais bien par besoin. Voyons-le comme un besoin « d’équilibre dans le mouvement » pour assurer sa continuité. La Création EST, et être n’est pas quelque chose de passif, bien au contraire. Chaque « mouvement » de la Création en est donc un de nécessité afin de maintenir le continuum de l’éternité, afin d’être.
Dans cet ordre d’idée, même si nous croyons n’être qu’un spectateur de « la fin du monde » sur Terre, nous jouons un rôle – consciemment ou non – dans la Balance Universelle, dans la Conscience Universelle.
Certes, il m’est très difficile d’exprimer ici quelque chose qui se vit et dont les mots sont inadéquats à transmettre l’expérience, mais je pourrais le résumer ainsi : c’est en liant le macrocosme au microcosme que nous découvrirons toute la richesse de notre existence présente, et ce, malgré son apparence « négative ». Peut-être assistons-nous notre demeure naturelle, la Terre, dans sa « nuit noire de l’âme » en vivant cette période trouble.
« Dans la douleur nous enfanterons. » Et croyez-moi, ce n’est pas un châtiment, mais une nécessité existentielle.

Tirons-en profit.

-Webmestre Zone-7
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