7 sentiers à partir de la 4ème initation majeure
Posté : 26 mars 2019, 06:12
Extrait de RI13 Le Seigneur Jéhovah (La Rose Ignée)
Que choisiriez-vous ?
En fait, il nous faudra demander à Notre Père où Il veut qu'on S'engage... Mais certains oublient de le faire à ce moment-là... Ce qui n'empêche pas que le choix réalisé par le boddhisattwa est irrévocable ! Si le boddhisattwa choisit le Nirvana, il soufflera un peu mais le retour sur terre peut le faire trébucher tandis que le chemin vers l'Absolu est moins risqué !
On en est encore loin mais on peut y penser... faire des plans sur la comètesaw a écrit : 23 Quand le Maître atteint la Quatrième Initiation des Mystères Majeurs, sept sentiers s'ouvrent devant lui.
24 Le premier : entrer au Nirvana ; le second : travaux supérieurs dans le Nirvana ; le troisième : faire partie de l'état-major du Logos du système solaire ; le quatrième : devenir un Nirmanakaya, travaillant dans le plan astral pour l'humanité ; le cinquième : travailler avec la future période jupitérienne de notre terre ; le sixième : se réincarner pour travailler avec l'humanité ; le septième : entrer dans l'évolution dévaïque ou angélique pour travailler dans ce grand atelier de la nature, sous les ordres directs du Seigneur Jéhovah.
Que choisiriez-vous ?
En fait, il nous faudra demander à Notre Père où Il veut qu'on S'engage... Mais certains oublient de le faire à ce moment-là... Ce qui n'empêche pas que le choix réalisé par le boddhisattwa est irrévocable ! Si le boddhisattwa choisit le Nirvana, il soufflera un peu mais le retour sur terre peut le faire trébucher tandis que le chemin vers l'Absolu est moins risqué !
extrait du sujet : Chemin Nirvanique ou Chemin de l'Absolu : https://www.gnose-de-samael-aun-weor.fr/ ... 1605#p1605Le long et amer sentier du devoir est différent ; il implique la renonciation totale, mais il nous conduit directement à l'Absolu.
Une nuit parmi tant d'autres, alors que je me trouvais tout heureux en état de Samadhi, je vis resplendir la planète Mars dans des tons pourpres.
Ses vibrations étaient certainement de caractère télépathique ; je sentis dans mon coeur paisible que l'on m'appelait de toute urgence depuis le noyau central de cette masse planétaire ; son scintillement était caractéristique.
Je me transportais rapidement, vêtu du To Soma Heliakon jusqu'aux entrailles vivantes de ce monde.
Vêtu de l'habit des milices célestes, m'attendait resplendissant Samaël, ma propre Monade individuelle, mon Etre intime véritable, le Divin régent de cette planète.
Je me prosternais avec révérence devant l'Omniscient, illustre Seigneur de ce lieu, et ensuite, prenant la parole, je dis :
« Père, me voilà !, pourquoi m'avez-vous appelé ? ».
« Toi, mon fils, tu m'as oublié ! ».
« Non, mon Père ; je ne t'ai pas oublié ! ».
« Si, mon fils, quand s'ouvre à toi la conciergerie de l'Univers, tu m'oublies ! ».
« Ô mon Père, je suis venu te baiser les mains et recevoir ta bénédiction ! ».
L'Omnimiséricordieux me bénit et, agenouillé, je baisais sa main droite. Dans le fond du Temple planétaire, on apercevait un lit de douleur.
Par la suite, je me plongeais dans une profonde réflexion :
Pourquoi ai-je choisi moi-même le chemin ?. Pourquoi ai-je oublié mon Père devant la terrifiante présence du Gardien des Chemins ?.
Jésus, le Grand Prêtre Gnostique, nous donna une grande leçon sur le Mont des Oliviers quand il s'exclama :
« Mon Père, si cela est possible, éloigne de moi ce calice, mais que ta volonté soit faite et non la mienne ».
Dix-huit ans après :
Fulminant et les yeux lançant des éclairs, je déchirais mes vêtements en protestant pour tant de douleur. Aïe !, aïe !, aïe !.
Une Vierge du Nirvana me répondit : « Ainsi est le chemin que tu as toi-même choisi. Pour nous, les habitants du Nirvana, les triomphes sont mineurs et pour cela il est évident que nous souffrons moins ».
« Mais comme tes triomphes seront majeurs, tes souffrances aussi seront plus intenses ».
Quand je voulus me reposer un peu, les Agents du Karma me réprimandèrent en disant : « Que vous arrive-t-il, Monsieur ?. Allez vous avancer ?. Ami, circulez !, circulez !, circulez ! ».
Je continuais patiemment ma marche par le sentier rocailleux qui conduit à la libération finale.